Quand le sang rencontre le feu! [ Aurora & Orion ]

par **Orion** Sam 18 Avr - 17:19

Il arrivait enfin au château du légendaire Prince Aurora, une imposante muraille autrefois en ruine bercé par les vapeurs de la lave en fusion se posait devant lui. Il ne pouvait même pas distinguer les hautes tours du fort, le souffle des volcans laissait une impression de mirage interminable. Orion n’oubliait tout de même pas qu’il était en territoire ennemi, il devait parvenir à s’infiltrer dans le château sans qu’on le voie… L'assassin se posa quelque minute afin de réfléchir quand il vit un chariot de foin arriver. Sans doute un convoi pour nourrir les chevaux… *Merci, je penserai à ne pas te tuer noble villageois !* se dit-il en riant.

Orion se positionna juste derrière le chariot pour ne pas être vu et plongea la tête la première dans la paille, rien ne dépassait mais il fallait qu’il se dépêche car l’air était très peu respirable… Le chauffeur discutait à présent avec l’un des gardes, l'assassin commençait à asphyxier, son sang n’était plus assez chargé en oxygène, ses forces s’amenuisaient, si le chariot n’avançait pas maintenant il allait mourir… Cependant alors qu’il allait sortir, le chariot se mit à rouler… *Ouf c’était moins une !*

Si tôt le chariot arrêté il sortit pour se précipiter derrière des tonneaux de cervoise. Orion s’allongea quelques instant et respira à plein poumon, il reprenait vie petit à petit. *Trouve autre chose la prochaine fois!* L'elendilien se trouvait désormais dans la cour tout près des écuries comme il l’avait prévu. Mais malheureusement, la porte d’entrée du château se trouvait très loin, il sera donc obliger de rester à découvert pendant un moment… *Espérons qu’ils ne tenteront pas de m’arrêter, sinon c’est leur vie qui s’arrêtera !*

Il s’avança donc d’un pas lourd et serein comme à son habitude. Il avait caché son sabre pour passer inaperçu. Cependant, peut-être par son habitude trop sereine pour un villageois un soldat s’approcha de lui. Orion se trouvait à quelques mètres de la porte. *Raaah ! Dégage !* « Haltes! Identifiez-vous ! » Sans même s’arrêter il dégaina son sabre et lui trancha la carotide avec le bout de son sabre. Toujours sur sa lancé deux autres gardes s’approchait, il empala le premier sur sa droite et évita l’assaut du second. Si tôt éviter il coupa la main du soldat pour ensuite lui ôter sa tête…

Orion rengaina son épée et ramassa celle des deux soldats morts. L'assassin continuait sur sa lancé, il ne s’était toujours pas arrêter, la vitesse d’exécution et le combat était inné chez lui. Il arrivait maintenant sur le seuil de la grande porte en bois ouverte. Deux gardes à moitié endormi s’appuyait contre leur lance de chaque côtés. Prévoyant leur attaque un peu molle, une fois aligné avec eux, Orion lança les deux épée pour transpercer les deux gardes etvenir se planter dans les deux portes en bois massif.

Orion était désormais dans le château, il referma les portes du château avec pour décoration les deux soldats toujours accroché aux portes empalé par les épées. Une fois refermé il remarqua que des traces de bout représentant des pas menait vers une porte non loin… *Sans doute des pas de villageois d’un village voisin… Elle mène certainement à la salle du trône !* Il suivit les pas jusqu'une porte qui était mis ouverte. Cependant alors qu’il allait s’apprêté à entrer, deux soldats le saisir par le bras…

Ils avançaient, la porte, seul lieu d’inattention venait d’être franchi… « Votre altesse ! Un espion elendilien ! Il vient d’assassiné 5 hommes… » Mais malheureusement pour eux, subjugué par le charisme de leur maître, leur moment d’inattention venait de surgir… En quelques secondes, il venait de pousser le garde de gauche en arrière en laissant traîner son pied. Le soldat parti à la renverse, dans sa chute Orion en profita pour se saisir de son arme et pour empaler le soldat de droite. Toujours sous les yeux du Prince il décapita le dernier qui venait seulement de tomber…

Navré de cette scène Prince Aurora. Je ne suis pas venu ici pour me battre pourtant, mais il semble que pour eux c'était necessaire... Votre réputation vous précède monseigneur, vous êtes connut dans tout Helliawe.

Votre charisme et votre force de caractère sont très recherché, ainsi je viens vous demandez d'allier vos forces à celle d’Elendi. Le peuple firielois est noble et sauvage, croyez moi nos ressources ainsi que notre savoir serait fort bénéfique pour vous, mais il va de sois dans l’autre sens…

par **Aurora** Lun 20 Avr - 23:41

Je vadrouillais dans le château et vaquais à mes occupations habituelles lorsque qu'un serviteur eut besoin de mon aide pour transporter des pots. Je l'aida volontiers et continua mon chemin en direction de la salle du trône. Plusieurs personnes de la haute bourgeoisie de Firiel m'y attendaient pour régler des conflits et me parler de leurs villages. Je regrettais de ne trouver Naomie nul part dans le château, et je n'avais pas le temps d'aller la chercher dehors, j'étais déjà en retard. En chemin je rencontra un serviteur désœuvré et lui confia la tâche de me trouver Naomie en lui disant de la ramener dans nos appartements. Le serviteurs partit au pas de courses tandis que j'ouvrais une porte qui allait me mener sur un autre couloir. Plus loin, derrière une tapisserie, j'empruntai un des passages secret du château qui me mènerait directement 4 étages plus bas. Arrivé en bas j'ouvris la porte en face de moi et me retrouva dans la salle du trône.

Dans la salle avaient été disposés en cercle devant le trône deux douzaines de chaises en métal ouvragé. Je pris place sur l'une d'elles après avoir fait assoir mes hôtes qui s'étaient tous levés à mon approche, sauf le vieux Herbert qui restait tout le temps assis dans son fauteuil transporté par ses serviteurs. Je m'inclina légèrement dans sa direction pour lui faire comprendre que j'appréciais qu'il soit réunit avec nous aujourd'hui. J'avais beaucoup d'admiration pour ce vieillard qui, malgré son âge avancé, restait toujours alerte, et sage. Nous commençâmes à parler de sujets divers, chacun faisant valoir son opinion de temps à autre. Au bout d'un moment nous entendîmes des bruits de combats. Un visiteur inattendu s'était infiltré dans le château sans trop de peine. La porte mal fermée laissa apparaitre deux de mes soldats tenant un homme par les bras. Ils m'informèrent que cet homme était un espion Elendien et qu'il avait tué 5 de ses hommes, mais ne purent en dire plus car en quelques secondes, l'homme les avaient tués eux aussi. Des autres gardes arrivèrent en trombe dans la salle du trône et voulurent se jeter sur l'ennemi, mais je les arrêta d'un signe de la main. Ils se redressèrent les uns après les autres en restant tout de même assez près de l'espion. Il me débita ce pour quoi il était venu et je m'approchais de lui à pas lents. Sans être effrayé, j'étais plutôt intéressé et admiratif.

7 maintenant... déplorais-je en le détaillant de haut en bas. Vous m'intéressez messire, et je vous admire, dis-je après une minute de silence. Je vous admire parce que vous avez réussit à entrer dans mon château sans que personne ne vous arrête et vous m'intéressez de part vos nouvelles que vous m'apportez. Il faudra que je pense à renforcer la sécurité de mon royaume, ajoutais-je plus bas pour moi même. Vous me demandez de m'allier au royaume d'Elendi, mais vous ne me donnez aucune raison valable de le faire.

Je me détacha de l'homme et revint à ma place sur ma chaise devant le trône. Je n'aimait pas beaucoup m'assoir sur le trône, j'aimais être à la même hauteur que mes sujets lorsque je discutais avec eux. Je me versa une tasse de thé chaud et invita l'inconnu à se placer au centre du cercle de chaises. Sur un geste de la main, un serviteur apporta une chaise pour que l'inconnu puisse prendre place au beau milieu des 24 chefs des provinces de Firiel. Reposant ma tasse à côté de moi sur une petite table, mon attention revint sur l'homme.

Commencez d'abord par nous dire qui vous êtes et expliquez-nous les raisons de votre venue plus clairement, je vous prie. Vous pouvez parler en toute confiance, personne ici ne vous fera de mal, sauf si vous faites un geste déplacé. Ces hommes autour de vous sont tous de puissants guerriers et si vous provoquez une bataille, vous n'en sortirez pas vivant. Et maintenant, parlez étranger, l'invitais-je sur un ton un brin pressant mais néanmoins autoritaire.

par **Orion** Mer 22 Avr - 17:49

Dès qu’il eut terminé, le Prince se leva de son trône et se rapprocha de l’assassin lentement en ayant une sorte d’attitude sereine et élégante. *Un peu trop sereine à mon gout… Il mijote quelque chose.* Orion regarda autour de lui pour être sûr qu’en s’asseyant comme le Prince venait de lui conseiller rien ne lui arriverait. 24 personnes était déjà assises et tous le regarder, horrifié. Satisfait l’impression qu’il dégageait, Orion se détendit un peu. *Alors c’est ça la fierté de ce Royaume… 25 personnes tous aussi apeuré que les autres !*

Je vous remercie de votre accueil qui est pour le moins surprenant. Je suis un assassin au service de sa majesté la reine Saphora du Royaume d’Elendi. Dit-il fièrement. Cependant lorsqu’il avait prononcé le mot assassin, ces 25 soit disant chefs de province avait tressailli. Orion reprit… Elle m’a envoyé afin de vous demander une alliance entre votre Royaume et le sien. Elle pense qu’une entente entre nos deux contrés serait bénéfique car nos adversaires sont des Royaumes instables prêt à retourner leur veste au moindre chantage.

Le visage de ses interlocuteurs était fermé, comme si chaque mot que prononçait Orion était un venin mortel pour celui qui écoutait ou même croyait à ses "absurditées". Voulant attirer l'attention de tout le monde, il commença sa justification par une réplique choquante...

Ainsi, vous serez dans l’incapacité de vous défendre lorsque ces derniers toujours aussi lié qu’auparavant, vous attaqueront. J’espère que votre connaissance et votre sagesse vous aideront à faire le bon choix. Car comprenez bien qu’une entente entre 3 Royaumes est impossible surtout quand deux d’entre eux sont très liés. Il n’y a de place dans ce monde pour Firiel qu’aux côtés d’Elendi.

L'assassin avait beau débiter des paroles plus que censées, pour eux, tout les arguments de l'elendilien n'étaient que tromperie et fourberie. Et pourtant...

Mais sachez qu’Elendi n’est point un Royaume horrible, ou crimes, viols, toutes sortes de monstruosité sont commise. Bien au contraire, ce qui le différencie des autres c’est qu’il a une bien plus grande ambition, il ne s'attarde pas sur le présent et voit loin pour le futur d’Helliawe. Ainsi, nous envisageons un monde ou un seul et même Royaume formeraient ce continent qui nous est si chère à tous.

Orion venait de capter l'attention de tous le monde, car tous se rendaient compte qu'au fond d'eux même, l'assassin disait vrai... Il décida d'en remettre une couche pour faire comprendre le réelle but de son Royaume.

Helliawe redeviendrait uni, il n’y aurait plus de frontière, tous deviendraient amies, le commerce irait de son plein grés dans tous les coins du continent, les animositées entre les peuple disparaîtrait. Malheureusement, ce n’est pas le dessein du peuple primitif qu’est Numendil et Cemendur. Nous aimons espérer que votre intelligence vous permet de voir aussi loin que nous dans l'avenir que nous...

Orion se gardait pour l’instant de faire du chantage et gardait en quelques sorte sa « bottes secrètes » pour la fin au cas ou sa vie serait en danger quand l’heure sera de repartir.

par **Aurora** Dim 26 Avr - 10:53

J'écoutai attentivement l'assassin tandis qu'il nous fournissait des explications. Pendant qu'il parlait, j'observais les réactions des 23 autres chefs de provinces. Certains étaient sereins, ou en tout cas ils n'affichaient aucune émotion. D'autres semblaient au contraire apeurés. Je jetais un coup d'œil en direction du vieux Herbert, le plus sage d'entre nous. Il ne semblait pas apeuré, ni convaincu par l'assassin. Il semblait réfléchir intensément au choix qu'il devrait faire dans quelques minutes, comme tous les autres.

Pour ma part je n'étais pas totalement convaincu par les explications de l'assassin, mais il n'avait pas faux sur toute la ligne non plus. Numendil et Cemendur étaient deux peuples très attachés l'un envers l'autre, tandis que Firiel étaient plutôt neutre. Firiel avait déjà servit le royaume d'Elendi dans le passé et était revenu avec les deux autre lorsqu'ils le leur avaient demandé car la guerre faisait rage et qu'ils n'arrivaient plus à se défendre contre l'ennemi. Cette soudaine trahison ne semblait pas avoir affecté Elendi plus que ça puisqu'il revenait demander sa collaboration.

Les dirigeants parlaient entre eux à mi-voix mais ne prenaient jamais la parole à haute voix pour que tous entendent ce qu'ils avaient à dire. Soit ils avaient peur, soit ils ne voulaient pas encore donner leur opinion car ils n'étaient pas encore sûr de leur choix, comme moi-même. Voyant que rien ne se passait, je pris la parole.

Vos paroles n'ont pas l'air de nous satisfaire, monsieur, dis-je en regardant les dirigeants les uns après les autres. Nous refusons de nous allier au royaume d'Elendi pour le moment, mais si vous avez des arguments plus convaincants à nous donner, nous reverrons probablement notre décision.

Je regardais de nouveau l'assassin. Il se trame quelque chose dans sa petite tête, j'en suis certain, mais de là à savoir quoi... Je me resservit une tasse de thé en gardant toujours un œil sur l'assassin au cas où il déciderait subitement de me tuer. Je bus quelques gorgées de liquide chaud et la réponse de l'homme en fac de moi ne se fit pas trop attendre. Je reposa la tasse et écouta les arguments de l'assassin.

par **Orion** Mar 5 Mai - 22:59

Orion avait finit son discours et observaient tous les dirigeants afin de deviné leur réponses. Mais malheureusement, certains avait le sourire aux lèvres, comme amusé par ses propos. Hors il avait horreur qu’on se paye de sa tête, surtout venant de gens trop effrayé pour prendre parti durant cette guerre de stratégique, ou alors trop aveugle pour comprendre leur dessein. Tous se regardaient à présent, l’elendilien attendait désormais la réponse de Firiel. Il y avait un grand silence dans la gigantesque salle, quand soudain le Prince prit le risque de parlé au nom de tous ceux ici présent.

*Vos paroles n’ont pas l’air de nous satisfaire…* A la seconde ou Aurora eut terminé Orion se leva, et tapa la table avec son poing. Sa colère était trop énorme pour demeurer intérieur… Vous satisfaire ? Mais votre majesté ou devrais-je dire Roi d’un peuple pourrit jusqu’aux os, je n’ai que faire de vos satisfaction !

Je ne suis pas sujet aux divertissements, craignez le courroux de votre refus mes seigneurs ! Car le peuple Elendilien ne sera pas aussi souvent clément ! Je ris par votre décision qui causera votre perte. Et je suis satisfait, moi assassin elendilien de votre refus car je serais tout autant satisfait de mettre ce Royaume à feu et à sang.

Orion avait commencé en foudroyant du regard le Prince. Puis s’était élargis en regardant les dirigeants. Presque tous paraissait marqué par ses paroles. A vrai dire, il espérait avoir choquer, pour faire réagir ses puissants guerriers ayant un réelle pouvoir diplomatique. Néanmoins, il se doutait que le Prince l’attaquerait, ou tenterait quelques choses. Mais il gardait l’argument de la Princesse comme sauvegarde de sa propre vie. Ce qui l’aiderait sûrement à repartir en toute sécurité.

Quand à vos nouveaux arguments si ceux-ci ne vous suffisent pas, alors prié pour que votre chère Royaume ne tombe pas en ruine. Votre inaction profite à tous, néanmoins nous sommes les seuls à être venu vous sauvez.

L’assassin regardait à présent le Prince puis de nouveau ceux assis autour de la table, un vieux monsieur le dévisageait en réfléchissant, il ne paraissait ni effrayé, ni enthousiaste, ni énervé, il pensait avec une mine sévère et grave. Car même si ces paroles venait d’un elendiliens, il n’en demeurait pas moins que tous ceci était vrai.

par **Aurora** Sam 23 Mai - 14:45

Du coin de l'oeil je vis l'un de mes compagnon glisser discrètement la main dans sa tunique, probablement pour y prendre une arme. Je le regarda quelques seconde, espérant qu'il comprenne qu'il ne valait mieux rien tenter avec des armes contre l'assassin. Il parut comprendre mon intention et croisa ses doigts sur la table.

L'assassin proférait des insultes et des menaces qu'il ne serait même pas apte à exécuter. Mettre le royaume à feu et à sang à lui tout seul, non mais pour qui se prenait-il ? Il était entouré de 24 maîtres du feu qui le feraient bruler sur place jusqu'au 28ème degré s'il le fallait. Il ne pouvait pas sortir d'ici vivant s'il tentait quoi que ce soit. A voir il préférait les armes à la magie, ce ne serait sans doutes pas bien dure de le tuer. Quoi que, si nous le tuions maintenant, nous ne sauront définitivement rien de ce pourquoi la princesse Saphora voulait absolument une alliance entre leurs deux royaumes...
Ce qui fallait faire pour le savoir était de pousser l'assassin à bout, tout en restant prudent.

Vos menaces et vos insultes n'ont pas leur place ici-bas, vous ne sortirez pas d'ici avant de nous avoir dit pourquoi la princesse Saphora tient tant à une alliance entre nos royaume. Je suis conscient que c'est pour nous aider, mais nous n'avons pas besoin de protection. Nous avons toujours été neutre et sans parti particulier, vous avez décidé de vous couper du monde et de faire la guerre aux autres peuples. Ce n'est pas notre faute si vous vous retrouvez maintenant en minorité par rapport à nous. Vous savez ce que je pense, je pense que c'est vous qui avez besoin de notre aide et pas le contraire, c'est pour ceci que vous êtes là. Vous voulez que nous vous aidions, mais vous prenez des chemins tortueux pour nous le dire. Alors dites-nous la vérité qu'on en finisse une bonne fois pour toute !

J'observais la réaction de l'elendien. Il ne disait rien, il semblait attendre une réponse que je ne lui avait pas donnée. Je ne lui ferai pas ce plaisir, il devait d'abord déballer entièrement son sac et tous ses arguments. Un sourire narquois naquit sur mes lèvres et je ris en silence en testant l'assassin du regard. Une gorgée de plus de thé et je m'installais plus confortablement dans mon fauteuil en attendant que l'homme veuille bien tout nous dire.

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